Les Décodeurs, rubrique du site Web du journal Le Monde, créée le 10 mars 2014[121], se fixe pour objectif de vérifier les informations données sur des thématiques variées, dans les médias et sur les sites internet. L'Espresso a rencontré le directeur à Paris dans son bureau au septième étage du nouveau bâtiment inauguré en mai dans le quartier dynamique de la Gare d'Austerlitz. L'heure des fuites sur les subventions à la presse ? L'initiative est critiquée dans la presse. Se voulant journal « de référence »[2],[3],[4], régulièrement considéré comme tel[5],[6],[7], y compris à l'international[8],[9], il est le quotidien national payant le plus lu en France (2,42 millions de lecteurs en 2016)[10] et le deuxième en nombre d'exemplaires vendus (323 565 exemplaires par numéro en 2019)[11],[12]. Le Monde est présent sur Internet avec son propre nom de domaine (lemonde.fr) depuis le 19 décembre 1995[194]. La publication de son témoignage est délibérément occultée par ses anciens compagnons[66]. En mars 2019, la Fondation Bill-et-Melinda-Gates octroie à la société de presse 2 126 790 $ sur trois ans pour Le Monde Afrique[126],[127], afin de soutenir « sa couverture du développement et de la santé globale en Afrique, informer et engager son public par un journalisme de haute qualité[126] ». Par ailleurs, depuis septembre 2006, Le Monde.fr a lancé un nouveau service : le Journal électronique[195]. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement. En 1994, Le Monde troque le statut de SARL pour celui de société anonyme (SA) à directoire et conseil de surveillance. », En juin 2011, le mensuel Le Monde diplomatique publie un article du journaliste Pierre Rimbert critiquant la disparition progressive de l'indépendance rédactionnelle au Monde. La Fondation était déjà « partenaire » du Monde Afrique[128], l’accompagnant depuis sa création en 2015[129], et avait auparavant octroyé des subventions dans ce cadre[130]. Le contenu de ce site est le fruit du travail de 500 journalistes qui vous apportent chaque jour une information de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. » Après l'élection, le soutien affiché du journal à François Mitterrand lui coûte de nombreux lecteurs[40]. Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. D'après l'OJD, en 2003, un peu plus de la moitié des abonnés à la version Internet sont les abonnés à la version papier utilisant leur droit de consultation : En 2007, l'audience du quotidien s'élève à 1 895 000 lecteurs (EPIQ 2006/2007-LNM) dont 56 % appartient à un foyer CSP+. - Paris, ISSN 0395-6458, ZDB-ID 1936621. The publication is owned by Le Monde diplomatique SA, a subsidiary company of Le Monde which grants it complete editorial autonomy. Lors de l'élection présidentielle française de 1995 , l'hostilité de Colombani à Jacques Chirac (à la suite de la tragédie d'Ouvéa), l'anti-mitterrandisme d'Edwy Plenel[Note 2] et le mondialisme balladurien d'Alain Minc, président du conseil de surveillance de la SA Le Monde, font que leur journal est accusé par ses confrères de balladurisme[51]. On peut, depuis avril 2002, s'abonner à la partie payante du site et bénéficier des dépêches d'agence (AFP, AP, Reuters), d'une base de données de résultats électoraux mise à jour depuis 1969, accéder à des contenus multimédia (près d'un million d'articles du Monde en ligne, soit l'intégralité du quotidien depuis 1987). Trois jours plus tard, Vincent Giret et Michel Guerrin, les deux adjoints de la directrice du Monde, démissionnent mis en cause par une partie de la rédaction qui demandait leur départ[111]. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944. Jean-Michel Dumay voit son mandat de président de la société des rédacteurs renouvelé en 2006, mais Pierre Jeantet remplace Jean-Paul Louveau comme directeur général et, avec Bruno Patino, entre dans un directoire aux côtés d’Éric Fottorino. Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Le premier numéro du Monde paraît le 18 décembre 1944, daté du 19 décembre sur une seule page recto verso. : le Decodex du Monde suscite des critiques », « Simon Leys / maoïstes français : un visionnaire au royaume des aveugles », Les éditocrates au secours d’Angela Merkel, « Critique de la caricature ou caricature de la critique ? Association pour une lecture critique de la presse. (ont suivi la société des employés et des cadres en 1968, et celle des lecteurs en 1985) . Elle n'en demeure pas moins le témoignage du réseau d'influence de Barbusse. En octobre 2019, le site internet du quotidien annonce par erreur la mort de Bernard Tapie. Serge Halimi, directeur du Monde diplomatique, dans son essai politique Le Grand Bond en arrière (2004, réédité en 2006 et 2012), ajoute ironiquement : « Ensuite, on crée un supplément affaires [Le Monde des affaires]. Raphaëlle Bacqué y revient sur l'affaire des diamants telle qu'elle fut vécue à l'intérieur du Monde et évoque l'aspect très politique de son exploitation. Variants du SARS-CoV-2 : pourquoi il faut impérativement les contenir, Vidéo : A Kinshasa, comment les pesticides empoisonnent la population. En l'absence de soutien des actionnaires[112], Natalie Nougayrède jette l'éponge et démissionne de son poste[113],[114]. Louis Dreyfus, né le 19 décembre 1970 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) [1], est un financier, éditeur et dirigeant de presse français [2].Il est président du directoire du journal Le Monde depuis 2010. Ou pris systématiquement le parti de l'extrême-gauche révolutionnaire contre les démocrates socialistes lors des troubles qui ont suivi la « révolution des Œillets » au Portugal[158]. », « IN THE MID-1970S Le Monde (codenamed VESTNIK — "Messenger" — by the KGB) becamed embroiled in a controversy… ». Depuis 1999, le site est édité par la société Le Monde interactif, filiale majoritaire du Monde et à 34 % de Lagardère. Le 28 mai, un nouvel organigramme est mis en place[116] : Gilles van Kote est promu membre du directoire et directeur du Monde par intérim par le trio Bergé-Niel-Pigasse dans l'attente d'un vote de la Société des rédacteurs du Monde (SRM) tandis que Jérôme Fenoglio devient directeur des rédactions. Les journalistes Pierre Rimbert et Serge Halimi lui reprochent d'avoir contribué à désinformer l'opinion en relayant complaisamment les accusations des gouvernements occidentaux contre la Serbie. Mais, le 19 décembre 2007, à la suite de désaccords en matière financière entre la direction et la Société des rédacteurs du Monde, le président du directoire Pierre Jeantet, le vice-président Bruno Patino et le directeur du journal Éric Fottorino démissionnent en bloc[83]. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Onze personnes composeront l’équipe de Caroline Monnot, qui succède à Luc Bronner, au début de janvier, comme directrice de la rédaction. Ses autres filiales sont : Télérama SA, Malesherbes Publications, Les Publications historiques et Sper. Le Point est un magazine d'actualité hebdomadaire français, créé en 1972 par une équipe de journalistes venant essentiellement de L'Express et proches d'Olivier Chevrillon et de Claude Imbert.Son format s'inspire de celui du magazine américain Time.. Traditionnellement classé à droite, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. En mai 2011, irrité par le contenu d'un article du Monde consacré à François Mitterrand signé par l'historien François Cusset, l'actionnaire Pierre Bergé dira « regretter » d'avoir investi dans le quotidien[166]. Lire également « “Le Monde” et nous » (juillet 2010), écrit au moment du changement de propriétaires du journal Le Monde. Une autre enquête sur le génocide du Rwanda[69] provoque, selon Éric Fottorino, le malaise des journalistes du Monde, le journal ayant « entériné la vision fausse et facile d'un double génocide qui dédouanait la diplomatie française, gauche et droite confondues »[70]. Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche[16], bien que cette affirmation soit récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan[17]. Nous publions la lettre adressée aux journalistes ce matin même. Le directeur du Monde : "Si on se laissait influencer par les réseaux sociaux, ... "Un journal, ça s'excuse", répond Jérôme Fenoglio, qui maintient "regretter" cette publication. (...) Déplaire nous condamnait-il à dépérir ? En avril 2008, il met en vente la société éditrice des Cahiers du cinéma, les Éditions de l'Étoile, achetée en janvier 2009, par le groupe d'édition d'art Phaidon en devient propriétaire et vend sa branche jeunesse, composée de Fleurus presse et de Junior hebdo, à Héros et Patrimoine, une société détenue par Financière de loisirs et par le fonds d'investissement américain Open Gate Capital. Dans la revue Actes de la recherche en sciences sociales, le sociologue de l'école bourdieusienne Patrick Champagne analyse l'évolution du quotidien et l'influence de Jean-Marie Colombani dans l'article « Le médiateur entre deux mondes ». Le groupe Le Monde est alors contrôlé par la société Le Monde libre qui possède 64 % du capital, cette société étant détenue par les trois hommes d'affaires ainsi que par le groupe de presse espagnol Prisa[98]. Le Monde propose des suppléments[Note 3] quotidien, hebdomadaires et mensuels, ainsi que divers suppléments ponctuels. Alors que nous nous apprêtions à boucler le présent numéro, nous avons appris le décès le dimanche 31 mai 2015, de notre confrère Matthieu N’do, ancien directeur de publication du journal San Finna de 1999 à 2012. Cela jette le trouble dans son lectorat[52]. Extrait du discours prononcé par Gilles Jacob à l'occasion des 70 ans du journal Le Monde (actionnaire du Huffington Post en France, ndlr) à Cannes ce 20 mai. En y retournant on peut presque y entendre des cris, des rires, des pleurs, des heurts, des joies, des drames ... comme l'a fait Luc Bronner, le directeur des rédactions du journal Le Monde qui a grandi chez nous dans ces montagnes des Hautes-Alpes et où il arpente depuis toujours les sentiers. Malgré le vote de la société des rédacteurs du "Monde", les actionnaires du journal ont décidé jeudi de maintenir la candidature de Jérôme Fenoglio au poste de directeur. C'est la troisième année d'affilée que le groupe affiche un bilan positif[136]. Le 17 décembre 2019, Le Monde et son journaliste Adrien Senecat ont été condamnés par le Tribunal de grande instance de Paris pour diffamation publique envers Olivier Berruyer, fondateur et animateur du blog les-crises.fr, à 1 500 euros de dommages et intérêts. Countries Onze directrices et directeurs adjoints formeront l’équipe dirigée par Caroline Monnot, chacun d’entre eux prenant en charge des projets, des missions et des secteurs d’activité particuliers de la rédaction. Spécialiste des Etats-Unis, fin connaisseur des pays du Sud, celui-ci élargit les sujets abordés à l’économie, la société, la culture, les idées, etc. « avocat de la « mondialisation heureuse », « frénétique à l'égard de Nicolas Sarkozy et manquant de recul à l'égard du Front national », le soir même dans quelques grandes villes de France. « On détruit un outil qui a été l’un des plus performants du monde » : d’anciens hauts dirigeants d’EDF critiquent le plan « Hercule », « Les défenseurs de la “souveraineté industrielle” de la France peuvent être rassurés, Photonis reste français », « Les pannes de courant au Texas touchent l’industrie au pire moment », « Les innovations, la baisse des coûts, la réglementation et les changements de comportement des consommateurs modifient la structure des industries de l’énergie ». Le monde de la presse en deuil. Jérôme Fenoglio, ancien rédacteur en chef du site internet, a été nommé directeur des rédactions du journal "Le Monde" ce lundi. [...] Le lancement du Monde Afrique a été rendu possible grâce à des partenaires qui respectent les valeurs du Monde et l’indépendance éditoriale de sa rédaction. Selon les archives de Vassili Mitrokhine agent du KGB, Le Monde (nom de code du KGB VESTNIK, « messager ») était le principal relais du KGB pour répandre la désinformation antiaméricaine et pro-soviétique dans les médias français. Un enjeu important pour la liberté de la presse, mais pas seulement, juge le directeur du Monde, Jérôme Fenoglio, solidaire de la mobilisation et invité du journal de 13h, samedi sur France Inter.